La musique comme vecteur de cohésion
Regards

La musique comme vecteur de cohésion

Le jeudi 18 mai s’est tenu, dans le quartier Kamsontenga de Ouagadougou, un « Rassandaga ». Cette fête initiée dans un esprit de cohésion sociale dans ce quartier avec en toile de fond, la promotion de la musique burkinabè.

Cette initiative vient du gérant du maquis Newlook, du nom de Joël SIMPORE. Cette initiative intervient dans un contexte difficile que traverse le Burkina. Chaque Burkinabè veut donc de par ses actes, contribuer un tant soit peu à cette lutte contre l’extrémisme violent par des activités de résilience.

En effet l’initiative de cette journée, selon le promoteur, s’inscrit dans cette marche de résilience d’abord. Ensuite c’est de valoriser le Burkina Faso dans toutes ses couleurs, dans toutes ses facettes. C’est à dire mettre en exergue le patriotisme, la culture des Burkinabè. ” En ces temps, il est plus important que les burkinabè soit unis“. Affirme le promoteur. Enfin c’est d’instaurer un climat de cohésion sociale sans distinction religieuse et ethnique.

Cette célébration s’est déroulée dans une atmosphère chaleureuse et conviviale. Tout le quartier est sorti festoyer dans cet esprit de partage. Les patriarches du quartier ont été également convié à cette célébration. L’initiateur, Joël SIMPORE affirme être en phase expérimentale, et au regard de cette première réussite, il souhaite la péréniser, tout en gardant le slogan ; « 100% Burkinabè !».

 NAGALO A. Renaud

 

 

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