Juliette FIEVET: “Divertir sans instruire, c’est abrutir”
A changer

Juliette FIEVET: “Divertir sans instruire, c’est abrutir”

C’est autour de cette maxime que des jeunes, des étudiants en communication, des acteurs culturels et des hommes de médias ont échangé ce vendredi 22 octobre au sein de la mairie centrale de Ouagadougou. Cet échange a duré pendant près de 3h de temps. La présence d’un monument du monde médiatique a motivé le déplacement des uns et des autres. Il s’agit de Juliette Fievet.

Juliette Fievet

Invité à Ouagadougou par le Maire Armand Bewendé, Juliette Fievet est à Ouagadougou depuis le dimanche 17 octobre dans le cadre du FESPACO. En réponse a cette invitation elle a entrepris un cadre d’échange avec les ouagavillois. L’objectif a été de leur partager son expérience et aussi acquérir l’expérience des participants.
C’est dans une salle presque pleine que l’invité déclame son parcours ,son histoire et ses viscitudes de la vie. Enfant de Provence, elle arrête les études à 15 ans pour s’orienter vers le monde musical, auquel elle s’intéressait déjà. C’est dans le rap qu’elle trouve son “kiff”. Elle devient donc autodidacte dans l’apprentissage du journalisme, du mécénat et de l’événementiel. De petits boulots en studio à arrangeur d’artistes comme Kery James, Sean Paul, Magic Système et beaucoup d’autres, elle aura véritablement une crédibilité dans le métier grâce à Claudi Siar qui lui donne sa chance à ses 40 ans. Il faut noter aussi qu’elle a connu des échecs incroyables qui ont eu pour impacts de la booster. Entre autres la perte de ses poulains musicaux, elle avait créé une entreprise URBANS TALENTS qui à fais faillites 1an après. Elle étais au plus bas au point de ne plus avoir de chez elle. Aujourd’hui elle est journaliste autodidacte, animatrice sur RFI ET France 24, et consultante en music du monde.
La combativité à eu raison d’elle lorsque à 40 ans RFI a accepté de lui donner un chrono grâce à Claudi Siar. C’est à partir de 41 ans que son rêve d’animatrice commence.


Aussi, des partages de vécu et des motivations sont venus de la part du public dans lequel on pouvait distinguer le Maire de la commune de Ouagadougou, des réalisateurs et monteurs d’émissions de TV5 monde et de France 24, des journalistes des médias burkinabé.
La rencontre a été un cadre de partage de vibration positive. En promettant de revenir avec des projets pour le monde de la communication burkinabé l’invité a clôturé les échanges en disant : PAIX,AMOUR,LUMIÈRE SUR VOUS ,ONE LOVE

Hugues fabrice

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