Malika La Slameuse : Grâce au slam, elle créé des emplois
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Malika La Slameuse : Grâce au slam, elle créé des emplois

 Slamazone Groupe et la Fondation Slamazone

 

La musique adoucit le business. L’artiste Malika la Slameuse est en train de le prouver honnêtement au regard de son entreprise qu’elle a créé.

Connaître les rouages d’une entreprise sur le bout des doigts pour un artiste, cela relève parfois d’un parcours de combattant voire irréalisable et chimérique. Pourtant, il suffit tout simplement que l’artiste s’entoure d’une équipe homogène et professionnelle dans chaque domaine avec à sa tête, un Manager.

 

La musique est source de création, de représentation, de mode de communication, de forme d’expression individuelle, de source de rassemblement collectif, de symbole d’une communauté et par conséquent, c’est une passerelle idoine pour procréer une véritable industrie. Car la musique est tout cela à la fois et plus encore : guérisseuse, source de plaisir, euphorisante, inspirante et même sensuelle.  Elle est même considérée pour certains, comme étant l’un des dons les plus mystérieux qui caractérise l’Homme. Elle est non seulement de toutes les époques, intergénérationnelle, intemporelle et interculturelle. En somme ; la musique est universelle et il n’y pas de jours et de nuits sans elle. Elle imprègne de nombreux instants de notre vie entière, souvent pour notre plus grand bonheur.

Mais ce que bons nombres de créateurs nationaux ignorent, c’est qu’ils ne l’exploitent pas suffisamment. Beaucoup se contentent simplement de la faire jouer et d’en tirer la substance financière de façon spontanée et sporadique sans véritablement en faire une manufacture.

Ibrahim Zerbo dit PDG (Président de l’AMPM), Manager Général de Slamazone Groupe

Il y a néanmoins certains qui sortent du lot. Alif Naaba, Dez Altino et surtout Malika la Slameuse qui, grâce à leur musique ont pu bâtir une véritable entreprise autour de leur art.

En plein cœur de la patte d’oie, aussi simple à indiquer qu’une banque quand on veut toucher un chèque, Ibrahim Zerbo dit PDG, le très magnanime acteur du showbiz (dans le vrai sens du terme) dirige la structure SLAMAZONE GROUPE conçue par la slameuse burkinabè Malika.

Mais, bien avant que SLAMAZONE GROUPE ne soit aujourd’hui une firme qui emploie une dizaine de salariés, tout est partie d’une simple artiste slameuse.

Les actions humanitaires sont au compte de la FONDATION SLAMAZONE

Cette jeune fille voilée, virtuose du Slam qu’on rencontrait régulièrement dans les concours de musique, est aujourd’hui une vraie dame entreprenante et audacieuse à la tête d’un grand groupe et d’une célèbre Fondation baptisée “Fondation Slamazone“. Contrairement à ce que d’autres artistes font ; «Malika la slamazone» a abandonné un salaire de plus d’un million par mois dans une banque de la place, pour se lancer dans la musique et le Slam. Aujourd’hui, même si, PDG veut rester modeste, cette slameuse est très épanouie dans son métier d’artiste.

Refusant d’entrer dans la polémique des chiffres et cachets ; ce que cette jeune dame engrange comme revenues dans le Slam est formidable ! En témoigne le siège Slamazone Groupe que son manager général PDG dirige avec brio. Production audiovisuelle, Formation aux métiers des Arts, Création et diffusion de spectacles, Communication médias et Hors médias, Marketing opérationnels, Evènementiels, personnal Branding et Commerce Général. Telles sont les attributions De Slamazone Groupe.

«Malika la slamazone» a abandonné un salaire de plus d’un million par mois dans une banque de la place, pour se lancer dans la musique et le Slam

C’est un vaste centre équipé à la perfection avec tout le matériel logistique et technique d’appoint. Salle de réunion/formation, plusieurs bureaux, un secrétariat, des locaux réservés au personnel d’appui à l’artiste, un vaste espace d’échange, une immense fanzone, deux studios de répétition savamment équipés avec surtout un studio exclusivement réservé à Malika la Slameuse.

Pourtant, cette jeune fille est partie de “rien”. Elle a juste mis en avant son art au service du développement.

A la question ambiguë que posent régulièrement certains journalistes : “En dehors de la musique tu fais quoi?” Malika la Slameuse ne s’appuie pas sur un job ou un business parallèle pour financer sa musique. Bien au contraire; c’est sa musique qui finance les autres activités. A côté de ça, elle a érigé une Fondation dans laquelle, sa sensibilité humanitaire ne souffre d’aucune contestation.

L’autre business de la slameuse; sa boutique de prêt-à-porter

Le monde de l’art et notamment de la musique, doit intervenir de plus en plus en entreprise avec pour objectifs ; de créer de vrais emplois, de courtiser les entreprises financières et les bailleurs, d’apaiser les tensions, d’aider à résoudre les problèmes conjoncturels, d’instaurer la cohésion dans la filière.

Hervé David HONLA

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