À la moindre publication de ce festival sur les réseaux sociaux, les yeux, la bouche et les phalanges des obnubilés du réseau social Facebook vibrent de curiosité.
Au delà de leurs images et posts exhibitionnistes qui inondent les plateformes relatifs au remaniement du gouvernement, certains acteurs culturels et touristiques vaquent paisiblement à leurs occupations. Leur tache quotidienne est exclusivement réservée pour l’émancipation de la culture et du tourisme burkinabè.
Ils se font certes du fric dans leur activité de promotion culturelle pour subvenir à leurs besoins, au lieu de jouer aux opportunistes. Mais c’est grâce à leur pragmatisme, leur sens de créativité , leur abnégation et leur amour pour la patrie et non pour des individus, qu’ils se démarquent.
Des jeunes entrepreneurs culturels qui refusent de croiser les bras après leurs brillantes études universitaires. Parmi eux figurent Olivier Bamouni promoteur du Festival GARBA AU FASO qui sera à sa 3ème édition au SIAO.
À l’intérieur de ce festival, le plateau artistique est souvent très attendu. Fini donc ce suspens sur les artistes retenus. D’où ces points d’interrogation qui ont été remplacés par les noms de nos vedettes nationales.
Franchement j’apprécie et j’encourage les jeunes entreprenants, intellectuels, qui sont dotés d’un bon cursus universitaire et non les médiocres espiègles qui profitent des situations pour s’infiltrer dans la masse.
Réfléchissons-y et donnons la place aux plus méritants, même si vous ne les appréciez pas ou qu’ils ne sont pas de votre bord. C’est l’intérêt communautaire que nous recherchons et non personnel.
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